Entorse aux bonnes mœurs.

 La librairie sexy et chaude

Je m’appelle Leatitia, 46 ans, 1,65m bien roulé d'après les hommes. Je vis dans le sud est du pays, je suis marié à Paul 50 ans, que j’ai épousé il y a 20 ans. Nous n'avons pas eu d'enfant. Il est directeur des ventes dans une grosse entreprise industrielle et souvent en déplacement à l'étranger. Depuis quelques mois les relations sont un peu tendues entre Paul et moi. De la petite dispute de couple on en est arrivé à de sacrés claches, de plus en plus fréquents et forts. Il y a quelques semaines, nous nous sommes violemment accrochés pour une sombre histoire de compte bancaire. Le ton est très vite monté dans la cuisine et mon mari est sorti en claquant la porte il à pris sa voiture et à disparu. J’ai craqué me suis mise à pleurer. J'ai passé quelques jours sans nouvelle. Un soir mon tel sonne c'est mon neveu Yan. Je lui explique la situation, il me répond, j'arrive. Une heure plus tard, j'entends taper à la porte, j'ouvre c'est mon neveu. Il entre me fais la bise comme nous sommes très complices tous les deux il remarque vite que je ne vais pas bien et que j'ai pleuré. Je lui explique rapidement et ajoute que je pense quitter son oncle. Yan s’est alors approché de moi, ses mains se sont posées sur mes hanches, nous étions face à face yeux dans les yeux il lacha : tu dis ça parce que tu es à bout, mais dans quelques heures tout ira mieux. Tu va voir cela va s'arranger. J’ai de nouveau craqué : J’en peux plus Yan, tu ne peux pas comprendre dans quelle situation je suis. Il me prit dans ses bras. Son étreinte me fit beaucoup de bien, sentir sa chaleur et son corps contre le mien. Je l'entraînais au salon ou nous nous installons dans le canapé. Nous parlons de mon infortune. Nous nous rapprochons. Ma tête contre son épaule je me blottis contre lui, notre étreinte dura un long moment sans un mot, mais il était perceptible qu'il se passait quelque chose, collés l'un contre l'autre l'ambiance devait de plus en plus chaude, je le sentais en ébullition, une des ses mains traînait sur ma cuisse, je la retirais, je le regardait dans les yeux puis machinalement nos lèvres se sont rapprochées pour se coller l’une à l’autre. On s’embrassa à pleine bouche. Nos langues virevoltaient ensemble. Notre baiser de plus en plus fougueux, Yan passa une main sous ma robe, je perdis vite pied. 

Pour lire la suite tu devra passer par la case Abonnement.