encore une histoire.

septembre 09, 2024

La librairie Sexy et Chaude.

Ma femme réalise mon rêve de candauliste.

Histoire envoyé par Hubert le 02/09/2024

J’ai dix ans de plus que ma femme, Agnès . Ça fait beaucoup, dix ans. Je l’ai rencontré à trente, elle en avait à peine vingt, elle était toute fraîche, superbe, une coupe au carré qui ne l’a jamais quittée, des yeux pétillants et un joli nez. Mais dès le début de notre relation, je me suis tout de suite demandé ce qu’elle me trouvait. C’est vrai, quoi ! J’ai toujours un léger embonpoint, je ne suis pas particulièrement beau ou drôle, je suis bon cuisinier, certes. Mais est-ce pour des crèmes brûlées que vos femmes restent à la maison ?
D’autant que je m’en souvienne, j’ai toujours eu la trouille de la perdre. Surtout la nuit, en fermant les yeux, j’avais peur de les rouvrir et de découvrir mon lit vide, avec un mot laissé par elle pour se moquer de moi, pour me punir d’y avoir cru, d’avoir eu l’audace de penser que j’étais celui dont elle avait besoin. Nous avons eu deux mômes ensemble. Pensez-vous que je sois rassuré pour autant? Non. Elle devenait sublime dans son rôle de mère, une madone qui, entourée de ses enfants, gérait tout de front : les sorties en famille, une carrière qui prenait de plus en plus d’allure et les soirées barbecue avec le voisinage. Et moi dans l’histoire, je m’empattais. Et puis, je les voyais ces regards. Ceux des autres hommes, des voisins, des parents des gosses, qui venaient prendre le goûter ou profiter du barbecue dans le jardin, et qui ne pouvaient s’empêcher de la mater de haut en bas. Ma femme ! Quelle poupée

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Commentaires

Coup de folie en famille.

Je m'appelle Gabrielle, j'ai 55 ans suis marié à un homme charmant qui m' fait une fille merveilleuse, nous vivions tous en harmonie parfaite jusqu'à ce que le destin en décide autrement. Un appel téléphonique à mon travail m'informe que mon mari vient d'être hospitalisé d'urgence à l'hôpital cardiologique de Lyon ce mardi matin suite à un infarctus. Nous habitons à cinquante kms de cette ville mais dans le département de la Loire. Je prends donc ma voiture et me rends à son chevet. En fin d'après midi le médecin me dit que pour l'instant il est stabilisé qu'on en saura plus dans deux ou trois jours. Il va resté plusieurs jours endormis. Puis arrive ma fille et son mari qui me consolent comme ils peuvent car je suis dans tous les états. Mon gendre toujours très correct et gentil avec moi me propose de venir à la maison le temps de l'hospitalisation, ils habitent à moins de dix kms de l'hôpital ce serait plus pratique pour moi ce que confirme ma fille qui rajoute qu'elle serait plus tranquille car faire cent kms tous les jours sur que la route n'est pas des plus bonnes. J'accepte la proposition en leur disant je rentre ce soir pour prendre des affaires et demain soir je reste chez vous. Je les remercie de tout mon cœur. Je rentre donc à la maison, prépare des vêtements pour quelques jours, je passe une très mauvaise nuit, c'est ma première seule depuis très longtemps et le savoir dans cet état me mine. Le lendemain je retourne sur Lyon, je passe l'après midi à son chevet, il dort toujours, l'infirmière me dit que tout se passe pour le mieux, que d'ici un jour ou deux ils pourront se prononcer plus sereinement. Le mercredi soir je m'installe dans la chambre d'amis chez Béa et Arnaud, ils sont au petit soin pour moi, ils essayent de me remonter le moral comme ils peuvent, je me sens moins seule et un peu mieux. La nuit je dors mal pensant à mon mari. Je vais à l'hôpital à 13h et rentre vers 19 heures. Le vendredi soir je vais me coucher tard car je dors toujours pas bien, Béa m'a donné un somnifère mais je ne l'ai pas pris, j'aime pas ces trucs là. J'étais à moitié endormi, je suis réveillé par des bruits insolites dans la chambre d'à côté, n'ayant pas du tout la tête à ça je n'ai pas pensé une seconde qu'il faisait la chose la plus naturelle dans un couple, tendant l'oreille je n'ai pas pu résisté, à pas de loup je me suis approché de la porte qui en plus n'était pas fermé en plein, dans la glace de l'armoire à la lueur de la petite lampe de chevet j'ai vu le

Ma vie à explosé.

Je suis Jocelyne 48 ans marié depuis 24 ans, mon fils unique vit dans le sud de l'Espagne et mon mari s'en va avec une autre femme plus jeune que moi. Je suis groggy par l'annonce subite de ce divorce, je n'ai rien vu venir, je me doutais de rien. Si bien sur nous ne faisions plus l'amour depuis longtemps, faisions chambre à part à sa demande pour motif qu'il rentrait tard et partait tôt. Moi avec mon petit job de secrétaire à la mairie je ne m'inquiétait pas le moins du monde. Une fois seule dans ma maison, car il me l'a laissé pour l'instant, je cherche à comprendre, me pose plein de questions, me regarde dans la glace et me dis tu n'es pourtant une belle femme,très brune, bien en chair, yeux marron, regard rieur, assez grande, poitrine ronde et ferme avec des fesses bien galbées. Je suis vraiment effondré et assommé par cette décision sans discussion ni concertation. Heureusement que j'ai une amie Colette qui me soutient beaucoup, elle m'aide à passer le cap du divorce. Elle vient souvent me voir passe des soirées avec moi,elle n'est plus marié à 50 ans, et puis j'ai mon travail et mon fils qui me téléphone très souvent pour prendre de mes nouvelles. Deux mois plus tard je me sens un peu mieux je reprends goût à la vie doucement. Un soir ou Colette mange avec moi nous regardions des photos que j'avais trié en prenant soin de bien enlever celles de mon mari j'éclate soudain en sanglot en voyant une photo que Colette avait apporté, se sentant responsable elle me prend dans ses bras

C'était notre destin.

Je suis dans l'avion qui va de Toulouse ou je vis et travaille, à Lyon, je me rends pour enterrer mon meilleur ami Renaud qui comme moi à trente ans et décédé dans un accident de la route. Nous sommes un vendredi matin de janvier 2022. Je me rappelle notre enfance puisque nous habitions dans le même village des monts du lyonnais à deux rues d'écart, moi dans une famille ou ma mère qui allait de son boulot à son jardin n'a jamais eu le moindre geste de tendresse et d'amour pour moi qui était fils unique, avec un père qui courait et jamais bien souvent à la maison. Alors depuis mes dix ans jusqu'à la fin de mon adolescence je passais mon temps chez Renaud et sa sœur Fabienne avec qui je m'entendais très bien. Leur maman Céline qui ne travaillait pas, son mari gros entrepreneur de la région subvenait à tous leurs besoins. Souvent elle nous prenaient tous les deux dans ses bras en nous appelant ses chéris. Elle était douce, avenante, tendre, gentille et toujours prête à nous faire plaisir. Elle m'a donné tout ce qui me manquait chez moi. Je crois que c'est le plus mauvais jour de ma courte vie.

Ah la campagne quelle merveille.

Bonjour à tous, je m'appelle Rémi j'ai 48 ans, suis divorcé, je vis dans la la région Bourgogne Franche Conté, j'ai un boulot de nuit qui consiste à de la surveillance sur ordinateur, ce qui me laisse beaucoup de temps pour me balader dans les forets et la campagne. Je suis fana de la campagne je n'ai jamais vécu en ville ville enfin pas plus d'un jour. Cette histoire s'est passé en début d'été en plein cauchemar dans les villes. Moi jamais rien changé dans mes habitudes tous les après midi marche de 10 à 12 kilomètres ou ne ne rencontre pas grand monde, à part des vaches des chevaux dans les prés. Je suis heureux, je respire à plein poumons, c'est la belle vie. Mais je ne suis pas non plus un moine, je sors et j'ai une copine avec qui je batifole beaucoup car cette nana que je ne vois qu'une fois par semaine cause mariée, est une dévoreuse de sexe. Bon ce jour là il faisait très chaud je me trouvais dans un petit chemin de terre au sommet d'une petite colline quand soudain j'aperçois une cavalière sur un très beau cheval, c'est pas la première fois qu'on se rencontre, nous arrivons face à face et là contrairement aux autres fois elle met pieds à terre et nous engageons la conversation, elle me dit aujourd'hui je vais faire une petite halte à l'ombre car il fait chaud et j'ai envie de parler un peu à quelqu'un, le cheval broute tranquillement pendant qu'on assoient sur un petit muret du château d'eau à l'ombre et discutons surtout de son boulot, elle m'explique qu'elle travaille dans le centre équestre qui entraîne des chevaux de propriétaires pour des concours hippiques, car pas très loin il y a un autre centre qui apprend au jeunes à monter. Je lui répond que moi j'habite pas très loin d’où elle travaille et lui explique ou.